1 ié : M. Philippe Berthelot, secrétaire général du ministre des Affaires étrangères  ; et pour la mariée : Son Excellence M. Diamanty, ministre de Roumani

2 r c’est bien cette situation que Cordell Hull, le ministre des Affaires étrangères de Roosevelt, avait prévue. Et c’est elle qu’il avait tenté de préven

3 . C’est bien cette situation que Cordell Hull, le ministre des Affaires étrangères de Roosevelt, avait prévue. Et c’est elle qu’il avait tenté de préven

4 nt foi les lignes suivantes, signées par l’actuel ministre des Affaires étrangères suisse : Il n’est pas sans intérêt de relever qu’aujourd’hui se mani

5 dent du Conseil italien ; M. van Kleffens, ancien ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas et ancien ambassadeur à Washington, actuellement ministr

6 l’Université de Lund ; M. Robert Schuman, ancien ministre des Affaires étrangères de France ; le professeur Arnold Toynbee, directeur des études au « R

7 les principes mêmes de sa Révolution. Lamartine, ministre des Affaires étrangères en 1848, tient à rassurer l’Europe sur les intentions de la nouvelle

8 emet enfin un passeport diplomatique signé par le ministre des Affaires étrangères et rédigé au nom du Dr Joseph Retinger, de nationalité polonaise. « C

9 r mais préfacé par Stephen Pichon (plusieurs fois ministre des Affaires étrangères ) atteint rapidement un tirage de 250 000 exemplaires, sensationnel po

10 erreur, par la haine ou par le fanatisme. Devenu ministre des Affaires étrangères du gouvernement provisoire établi par la révolution de février 1848,

11 ncouragé par cette action, Aristide Briand, alors ministre des Affaires étrangères , décida en 1928 de soumettre à la Société des Nations un projet de Co

12 c toute l’emphase diplomatique réglementaire, par ministre des Affaires étrangères  ». (Il faut lire tout cela dans l’Histoire des peuples de l’Afrique n

13 c toute l’emphase diplomatique réglementaire, par ministre des Affaires étrangères  ». (Il faut lire tout cela dans l’Histoire des peuples de l’Afrique n

14 ! Nous devrions tous nous lever ! » 163. Sforza, ministre des Affaires étrangères , prononça en français le discours inaugural, dans l’ancienne salle de

15 i se réfère, comme le disait tout récemment notre ministre des Affaires étrangères , à quelques grands principes : neutralité, fédéralisme, démocratie di

16 Coudenhove réussit à convaincre Aristide Briand, ministre des Affaires étrangères , puis président du Conseil français, lequel déclare à Genève, en 1929

17 rois fois ministre des Finances (de 1946 à 1947), ministre des Affaires étrangères (de 1948 à 1952), garde des Sceaux en 1956, et deux fois président du

18 lée consultative du CE, avait repris sa charge de ministre des Affaires étrangères de Belgique. De son discours d’adieu à l’Assemblée de Strasbourg, ret